• 9 février : Good bye Vietnam, Good morning Cambodge

    Hier soir difficile de trouver un « restaurant » car nous arrivons toujours trop tard, les Vietnamiens mangent tôt. Nous mangeons du riz poulet sur la place, très correct.

    Nous avons rencontré le propriétaire de notre hôtel (Nha Nghi), c’est un Belge très sympathique qui a épousé une petite Vietnamienne charmante, Kim. On a discuté un peu, il a une société de traiteur à Paris et fait les repas pour des films, ou pour la télévision (par exemple il fait les repas pour « questions pour un champion »). Il a bien baroudé et ses affaires ont l’air de bien tourner. Il a construit ce bâtiment qui fait hôtel, coiffure, 20m sur 15m, sur plusieurs étages pour un coût de 200000euros, ce qui reviendrait chez nous à au moins 1,5 million d’euros ! Il a un deuxième hôtel en construction. Bien sûr il fait travailler toute la famille de sa femme etc… Une personne gagne 4/5 dollars par jour, il les paie 7/8 dollars. Enfin, il est bien sympathique.

     

    Ce matin, nous prenons un thé à la petite gargote vers 6h à côté de l’hôtel et notre ami Belge vient nous rendre visite.

    Alors là, la cata, nous apprenons que nous ne pourrons pas faire de visa pour le Cambodge au poste frontière où nous avons prévu de passer. Il va chercher KIM et elle nous explique qu’il faut passer à tel poste, soit pour nous plus de 50 km à refaire en sens inverse parmi la cohue de Chau Doc ! Finalement elle va voit un membre de sa famille qui lui dit comment aller à un  poste frontière où on délivre les visas. Elle appelle une moto Dop qui nous conduit à la frontière et elle paie la moto et les bateaux ! Vraiment très gentil.

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

     

    le maïs seche sur la route au Cambodge

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    viva Cambodia

    Nous passons par de petites routes, un peu de piste des maisons de chaque côté sur pilotis  et nous arrivons après 25km au poste. Un parcours que nous n’aurions pas trouvé.

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    voilà le chemin pour faire tamponner le visa de sortie!!!

    Là il faut faire tamponner notre visa de sortie. Le douanier nous amène au poste de police près de l’embarcadère où la majorité des touristes qui vont au Cambodge passent en bateau. Ensuite il faut passer la frontière Cambodgienne. Passeport tamponné, mais il faut faire le visa pour entrer au Cambodge. On trouve le poste de police idem Vietnam 1km plus loin à travers une piste ! Le policier nous fait le visa et réclame 22 dollars, sachant qu’au dessus de sa tête c’est inscrit 20 dollars ! Ouf nous avons notre visa.

    Nous partons alors sur la route de Phnom Penh, mais nous n’y serons pas ce soir, nous avons perdu trop de temps et la route est longue. Nous nous arrêterons donc à Neak Loeang. Ce qui fera 80km.

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    les maisons

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

     

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    En entrant au Cambodge, on voit tout de suite la différence avec le Vietnam, le Cambodge est beaucoup plus pauvre. Sur 50km environ, nous rencontrerons maximum 10 voitures, il faut dire que nous sommes en pleine cambrousse. Nous n’avons plus de circulation intense et peu de klaxon, quelques motos, quelques vélos. Çà repose, le seul bruit que nous entendons est celui des enfants qui nous crient « Hello ».

    Les maisons sont en bois avec un escalier pour accéder à l’intérieur.

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    Nous voyons des buffles, mais aussi beaucoup de zébus blancs.

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    un atelier de couture

    Nous nous arrêtons près des maisons pour boire, manger et bien sûr on nous offre une chaise. Les Cambodgiens ont l’air extrêmement gentils. A un arrêt, une petite fille de 15 ans vient nous voir et elle parle bien l’anglais. Elle travaille dans un « supermarket » et apprend l’anglais en même temps. Elle nous dit qu’il n’y a pas d’électricité dans les villages, c’est vraiment la campagne. Elle ne sait pas ce qu’est internet ! C’est la première fois qu’elle voit des touristes comme nous car il n’y a pas de touristes qui s’aventurent ici. Nous sommes très sensibles à ce qu’elle nous dit et personnellement, je suis très ému car cette petite de 15 ans si elle était en France aurait un avenir certainement meilleur qu’ici dans une maison sans électricité. Elle n’est jamais allée à Phnom Penh qui est à 80km. Un peu plus loin, un jeune étudiant nous dira un peu la même chose et nous dit qu’il faut faire très attention aux vols car les gens sont tellement pauvres ! Voilà nos premières impressions du Cambodge.

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    Nous apercevons plusieurs pagodes et quelques unes en construction.

    Pour trouver de l’eau fraîche, et à manger, c’est très difficile, heureusement que notre ami Belge nous a donné 4 bouteilles d’eau chacun dont deux complètement gelées.

    Sur le bord de la route, le riz sèche sur des bâches, le maïs également.

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    on boit ce qu'on trouve de frais

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    les petits canaux qui viennent du Mékong sont presqu'à sec

    Nous sommes très poussiéreux. Nous arrivons finalement à Neak Loeang vers 15h et la pharmacienne nous appelle une moto dop qui nous amène à l’hôtel.

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    ma chambre

    Ce sera 12,5 dollars la chambre par personne car pas de chambre à 2 lits. C’est très correct, comme hier soir et du carrelage partout. Je prends ma douche aussitôt car j’en ai besoin !

    9 février: Good Bye Vietnam, Good Morning Cambodge

    en plein effort

    Demain environ 70km pour la Capitale.

    Nous sommes allés manger et devinez ? Du riz avec de la viande. On nous a emmenés en moto et nous avons fait le tour de la ville !

    Ce soir, c’est comme le réveillon chez nous. Demain c’est le jour de l’an. Il y a la fête dans la ville, des déguisements et surtout des gars qui jouent du tambour ou djembé. Je pense que çà va être chaud ce soir, à commencer par le boss de l’hôtel qui a dû consommer pas mal. On a vu la différence en arrivant et après manger. J’espère que demain il y aura des échoppes  et gargotes ouvertes sur la route !


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  • 8 février : Cho Moi  An Phu. Le bruit, la circulation intense.

    Départ tôt comme d’habitude maintenant surtout que depuis 5h du matin on entend la télé haut et fort. Après un thé nous reprenons la route 954 avec la traversée de tous ces petits villages. Depuis hier que nous sommes sur cette route, nous n’avons qu’une suite de villages pratiquement sans coupures.

    8 février: Cho Moi  An Phu

    8 février: Cho Moi  An Phu

    De chaque côté des boutiques, des  gargotes, de nombreux étals et quand on traverse un marché, il est difficile de se frayer un chemin.

    8 février: Cho Moi  An Phu

    Il y a aussi beaucoup de marchands ambulants (des femmes) qui vendent des fruits légumes repas etc …

     

    8 février: Cho Moi  An Phu

    8 février: Cho Moi  An Phu

    Dans les boutiques des friandises pour offrir pour la fin d’année. Çà grouille de partout car les gens préparent la « fête du têt » qui débute dimanche et durera 3 jours. Les maisons sont décorées de fleurs, d’où de nombreux marchands de fleurs  partout, il y a aussi des lumières clignotantes comme nos sapins de noêl. Dans la maison, afin d’amadouer le dieu (en fonction de sa religion), on dresse à son attention sur l’autel réservé aux génies domestiques, de la nourriture, de l’eau fraîche, de la noix d’arec avant de lâcher des carpes vivantes dans les rivières et lacs pour son transport. Cette fête est célébrée en famille dans son village d’origine. Un véritable rituel prend place pour commencer l’année sous les meilleures auspices : on doit régler toutes ses dettes, faire des travaux dans sa maison, nettoyer les tombes des ancêtres, préparer des plats spéciaux et s’acheter des vêtements neufs. Je comprends maintenant pourquoi nous voyons beaucoup de personnes peindre leur devanture, comme les moines à la pagode Tra Vinh. On voit partout des jeunes laver leurs motos et scooters. Autour des tombes, certains ont mis le feu pour brûler l’herbe sèche et nettoyer.

    Finalement, je comprends mieux pourquoi çà grouille de monde dans les rues à cette époque.

    8 février: Cho Moi  An Phu

     

    Nous longeons le Mékong. Les canaux sont presque à sec ou alors il y a trop peu d’eau pour les bateaux qui restent à quai.

    Nous prenons le ferry encore et traversons Chau Doc où nous apercevons des mosquées. Il s’agit d’une des 54 ethnies, les Chams musulmans, une minorité oubliée. Ils adhèrent à la religion du prophète, mais ne prient que le vendredi au lieu de 5 fois par jour, ils ne vont pas à la Mecque, ils boivent de l’alcool, ils font le ramadan 3 jours au lieu d’un mois. J’ai croisé  les femmes qui portent le voile.

    La journée est très fatigante car la circulation est intense que ce soit sur la petite route ou sur la route plus importante que nous prenons après Chau Doc. Il faut donc être très vigilant !

    Le bruit aussi est pénible car les klaxons fusent sans cesse et nous n’avons pas une seconde de répit. En plus il fait lourd, alors je suis très fatigué en arrivant à An Phu.

    Nous sommes dans un café où nous avons la WIFI alors mise à jour si possible.

    Par contre ce soir de nombreux moustiques nous piquent !!!!

     


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  • 7 février : Can Tho vers Mo Chai, à travers les petits villages.

    Comme prévu départ très tôt, vers 6h30 afin d’éviter les grosses chaleurs ! Il a fait chaud, mais le soleil était moins brûlant si bien que les 100 km environ n’ont pas été très difficile à rouler. La plus grosse difficulté est de trouver des boissons fraîches, de l’eau si possible. Donc nous nous arrêtons toutes les heures et allons dans un vendeur de boisson, mais on ouvre son frigo ou sa caisse à glaçon afin de lui montrer ce qu’on veut ! Malheureusement, peu ont un frigo donc dur dur.

    7 février: Can Tho vers Cho Mai Les petits villages

    letransport des marchandises

    Après avoir traversé le grand pont sur le Mékong à Can Tho, nous partons vers le Cambodge. Nous avons décidé de prendre les petites routes très mal indiquées, mais nous demandons à chaque fois et çà se passe bien.

    Prendre les petites routes est très agréable car cela permet de traverser plein de petits villages là où les touristes ne vont pas. C’est ainsi que l’on découvre la façon de vivre des Vietnamiens dans les contrées retranchées.

    7 février: Can Tho vers Cho Mai Les petits villages

    7 février: Can Tho vers Cho Mai Les petits villages

    Depuis notre arrivée, nous entendons souvent le chant du coq, même en pleine journée. Aujourd’hui, sur la route nous avons vu de nombreux coqs enfermés dans les cages en grillage ou en osier. En réalité ce sont des coqs de combat, les Vietnamiens pratiquent beaucoup cette passion ici dans le Sud, comme le Belges la colombophilie.

    Sur la route, plusieurs fois, nous rencontrons des hommes en train de laver leur coq, de le bichonner ! C’est super. On a l’impression qu’il y a un coq par famille. Certains en ont même plusieurs.

    Nous voyons aussi la fête dans tous les villages, décoration, musique et beaucoup de stand le soir. En réalité, ce n’est pas la fête du Têt, mais ce sont les fêtes de fin d’année, comme nous les marchés de Noêl. Dans beaucoup de maisons, nous voyons des illuminations comme chez nous des sapins de Noêl.

    Dans les villages, également énormément de vendeurs ambulant qui vendent de tout : fruits, légumes, tissus, repas etc…

    Vers 11h on rencontre 2 couple de Néerlandais qui se désaltèrent et arrivent de Bangkok, en vélo ! Il s sont là depuis le 3 janvier, notre âge dont un de 70 ans !

    Après quelques conseils réciproques, puisque eux vont à Can Tho et nous on va dans la direction d’où ils viennent, nous reprenons notre route et bingo ! Patrick casse 4 rayons.

    7 février: Can Tho vers Cho Mai Les petits villages

    Il a ce qu’il faut pour réparer, mais c’est l’attroupement autour de lui et un Vietnamien veut absolument faire la réparation et il a « pris les choses en main » comme dit Patrick. Après manger nous repartons tranquillement.

    7 février: Can Tho vers Cho Mai Les petits villages

    On traverse de nombreux « arroyos » qui sont en réalité des canaux. Beaucoup sont presqu’à sec, mais ils sont très nombreux.

    7 février: Can Tho vers Cho Mai Les petits villages

    Sur la route du rafia coloré sèche au soleil, celui-ci est destiné à la fabrication des nattes.

    7 février: Can Tho vers Cho Mai Les petits villages

    7 février: Can Tho vers Cho Mai Les petits villages

    Les cultures sont nombreuses, surtout maraîchères, des échalotes et des choux.

    Pour revenir à la fête du Têt, celle-ci durera 3 jour à partir du nouvel an qui sera dimanche prochain. On a donc intérêt a quitté le pays car tous les magasins seront fermés.

    Ce soir nous sommes arrivés à Cho Mai, plus gros village de cette région perdue et nous trouvons un hôtel avec une chambre à 2 lits, mais sans douche, ni lavabo ! Nous prendrons donc notre douche froide au broc.

    Nous allons manger des nouilles de riz, puis mis à jour blog si possible et dodo car demain 5h15 !

    7 février: Can Tho vers Cho Mai Les petits villages

    7 février: Can Tho vers Cho Mai Les petits villages


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  • 6 février : Can Tho, le marché flottant.

    Lever à 4h45 pour prendre le bateau à 5h30 et on arrive au marché flottant à 6h30.

    6 février:

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    De nombreux bateaux se côtoient, les plus gros sont des grossistes qui sont chargés à bloc de fruits, ananas, noix de coco, mangues, légumes, pommes de terre etc…le tout à des prix défiant toute concurrence. Les plus petits bateaux se ravitaillent pour revendre sur la terre ferme. Il y a aussi pas mal de troc. C’est un spectacle très étonnant que cette myriade de barques qui se pressent autour des coques ventrues débordant de tous ces fruits et les barreurs (ses) se fraient un chemin avec  beaucoup de dextérité. Çà valait vraiment la peine de se lever tôt, d’autant plus qu’après nous arrivent toutes les embarcations plus grandes de touristes gérées par les agences.

    6 février:

    6 février:

    6 février:

    De chaque côté du fleuve, nous apercevons les maisons, ou plutôt baraquement sur pilotis qui contrastent avec la ville et les énormes panneaux publicitaires vantant les marques internationales.

    Après la visite du marché, nous allons visiter une fabrique de nouilles de riz. Il ne faut pas tenir compte des conditions d’hygiène, cette fabrique serait fermée en Europe. D’ailleurs au niveau de la chaîne de froid, c’est impensable ! La viande est exposée sur des étals dehors non protégée de la poussière, et je ne parle pas de la température ! Si les conditions devaient être aux normes européennes, c’est la faillite du pays car il y a d’innombrables petits commerçants, souvent des femmes sur le bord des routes.

    Cet après-midi, toujours pas d’internet, donc nous allons manger au Mékong où je peux me connecter et je mets à jour la journée du 3 février. Ce soir j’essaierai de faire mieux.

    fabrique des nouiles de riz

    6 février:

     

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    6 février:

    Nous visitons le temple à côté du Mékong.

     


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  • 4 février : la route des pagodes. je mettrai les photos plus tard car problème.

    Nous partons 1 h plus tôt qu’hier, mais c’est encore trop tard, la température monte trop vite.

    Nous allons vers Cau Quan. Sur la route, de très nombreuses marques indiquent les traces d’un accident et ils sont nombreux. Nous devons être prudents, surtout lorsqu’un camion double en face, mais je reste  sur la route et çà passe !nous prenons le bac pour Tra Vinh et allons nous restaurer. Je ressens une fatigue terrible, plus de jambes et en plus nous avons le vent de face. En réalité, j’ai la fringale et après un repas pain plus vache qui rit et un doliprane 1000, c’est reparti. J’avoue que j’ai eu peur sur le coup, je me demandais si j’allais pouvoir continuer ! Mais l’après midi, j’ai roulé à une très bonne cadence avec le vent de « queue » en plus.

    4 février:la route des pagodes

    Nous visitons plusieurs pagodes très jolies, des pagodes khmer.

    4 février:la route des pagodes

    4 février:la route des pagodes

    Nous rencontrons un moine qui discute avec nous, il est étudiant et dans dix ans, il retournera chez lui.

    La route est très agréable, bordée de cocotiers et bananiers. 

    Nous reprenons un bac pour traverser le Mékong car le ferry n’est pas encore prêt. Le bac nous amène de l’autre côté et là, nous demandons notre route. Il faut reprendre un bac ! Sur le coup on ne comprend pas, mais en réalité, on est sur une île donc il faut retraverser pour aller sur la route de Soc Trang ! Il est trop tard, la nuit va tomber, on ne peut pas attendre et par chance, nous avons une « Nha Ghi » juste à l’embarquement.

    4 février:la route des pagodes

    ma chambre

    4 février:la route des pagodes

    ma douche

    Je visite les chambres et c’est le plus simple qui existe, voir photo. Nous prenons ces deux chambres, toilettes à la turque dans le couloir. La patronne s’empresse de mettre du désodorisant dans nos chambres, puis lave à grande eau les toilettes et environ.

    J’en profite pour envoyer un mail de bon anniversaire à mon petit-fils François pour ses dix neuf ans. Nous sommes dans une famille très sympathique. D’ailleurs, je trouve que les Vietnamiens du Sud sont beaucoup plus accueillants que ceux du Nord ! Est-ce le climat ? En tout cas on passe de bons moments.

    4 février:la route des pagodes

    Le soir nous allons au petit restaurant à 50m et là c’est vraiment l’euphorie, 9 personnes s’occupent de nous, seuls clients. Tout se passe en famille. Nous mangeons des nouilles chinoises avec quelques légumes, du tofu, du calamar, et nous pensions avoir des nems, mais c’est un genre de saucisse que la fille fait cuire sous nos yeux.

    Encore une très bonne soirée, on a failli chanter au karaoké, mais difficile de lire le viet !

    Je fais le rapport du jour chaque soir, mais je suis fatigué et excusez moi si ce n’est pas très lisible ou s’il y a des fautes, c’est la fatigue, aujourd’hui, un peu plus de 80km, c’est pas beaucoup, mais vu la température, c’est suffisant.

    Demain matin, on essaie de partir 1 heure plus tôt.

    les photos du jour ci-dessous

    4 février:la route des pagodes

    CAU CAN

    4 février:la route des pagodes

    coucher de soleil sur le Mékong

    4 février:la route des pagodes

    fête de fin d'année

    4 février:la route des pagodes

    pagode de tra vinh

    4 février:la route des pagodes

    travinh suite

    4 février:la route des pagodes

     

    tra vinh

    4 février:la route des pagodes

    tra vinh

    4 février:la route des pagodes

    4 février:la route des pagodes

     

    le Mékong


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